CNRS - Centre de Recherche sur l'Action Politique en Europe (UMR 6051) - chercheur (2002-2004)
puis chercheur associé (depuis 2004) dans l'équipe "Journalisme, médias, espace public" (dir. Erik Neveu)
- membre du conseil de laboratoire (2003-2004)
membre élu du Comité National de la Recherche Scientifique (section 40 du CNRS : "Politique, Pouvoir, Organisation") (2004-2006) >>les domaines scientifiques de la section 40 du CNRS :
Sciences du politique, sociologie politique, communication politique, action publique
État et sociétés civiles : le politique, l’idéologique, le religieux
Relations internationales et stratégie. Politique comparée
Organisation et sociologie de la production et du travail ; relations professionnelles
Sociologie et gestion des organisations et des institutions
membre de l'AFRHC (Association Française de Recherche sur l'Histoire du Cinéma) (2003-...)
membre de l'AFECCAV (Association française des Enseignants et Chercheurs en Cinéma et Audiovisuel (2003-...)
membre de la Society for Cinema & Media Studies (USA) (2000-2001)
membre de l'Association française de Science Politique (2002-2003)
membre élu de l'Académie Américaine des Emmy Awards (Academy of Television Arts & Sciences), Academic Board (Professors and Associate Professors of TV and Film studies), Hollywood (USA) (2007-2009)
La section 40 du Comité National de la Recherche Scientifique en 2005.
Au centre le président de section Pierre Lascoumes.
Colloques et conférences invitées
Ecole des Hautes Etudes en Sciences Sociales (2001)
Université de Toulouse II (1998, 2000, 2002, 2004, 2006)
Université de Bordeaux III (1997)
Université d'Avignon et des Pays de Vaucluse (2001, 2005, 2006)
Université de Rennes I (2004)
Institut d'études politiques de Rennes (2004)
Institut d'études politiques de Paris (2003)
Society for Cinema Studies (USA) (1999)
University of California, Berkeley (USA) (1999)
Université Nationale de Mexico (Mexique) (2003)
University of London, French Institute (GB) (2003)
Concordia University, Montreal (Canada) (2005)
Université de Bucarest (Roumanie) (2003)
University of New York (centre de Paris) (2009)
University of Gdansk (Pologne) (2010)
Recherches en cours
depuis 1997
L'Etat et le cinéma français depuis 1960 :histoire économique, sociologie de l'action publique
- histoire de la politique du cinéma français(dispositifs de soutien, financements, enjeux esthétiques) -
histoire institutionnelle du CNC
- histoire de certains fonds spécifiques (Avance sur recettes, Prime à la Qualité du court-métrage...)
-
sociologie de l'action publique (histoire de l'expertise sur le cinéma et de l'institutionnalisation d'une politique publique de soutien, pratiques actuelles, évaluation de la pertinence des actions)
- sociologie de l'action collective (professionnels, syndicats, analyse des discours et registres argumentatifs)
-
histoire politique des enjeux diplomatiques autour du cinéma français (festivals, procédures et dispositifs de sélection des films)
- plaisir cinématographique et films de genre : le portrait du cinéma non retenu par les dispositifs publics.
articles et chapitres d'ouvrages tirés de cette recherche
GIMELLO-MESPLOMB F. et FOREST C. (2008), « Le cinéma fantastique français, un rendez-vous manqué », in TELEDOC « La main du diable : le cinéma fantastique français » (Philippe Leclercq, dir.), Paris, CNDP, 2008, p. 3
GIMELLO-MESPLOMB F. (2006), « La politique publique du cinéma en France » in Art et pouvoir, de 1848 à nos jours (sous la direction de Philippe Poirrier), Paris : Editions SCEREN-CNDP, collection « Histoire des arts ».
GIMELLO-MESPLOMB F. (2006), « The economy of 1950s popular French cinema: public intervention and audience enjoyment », Studies in French Cinema Journal (Grande Bretagne), Vol. 6, n° 02, june.
GIMELLO-MESPLOMB F. (2004), « Peut-on responsabiliser les nouveaux modes de consommation de l'audiovisuel? », in La libération audiovisuelle - Enjeux technologiques, économiques et réglementaires (sous la direction de Thomas Paris), Paris : Editions Dalloz.
GIMELLO-MESPLOMB F. (2003a), « Le prix de la qualité. L'État et le cinéma français (1960-1965) », Politix, revue des sciences sociales du politique, n° spécial Politiques du cinéma (Leveratto J.-M. et Montebello F. dir.), Paris : Hermès, Vol. 16, n° 61, mai-juin, pp. 97-115.
GIMELLO-MESPLOMB F. et LATIL L. (2003b), « Une politique du cinéma : la sélection française pour le festival de Cannes», Protée, Revue internationale de théories et de pratiques sémiotiques (Québec, Canada), Québec : Presses de l'Université du Québec, Vol. 31, n° 2, pp. 17-28.
GIMELLO-MESPLOMB F. (2000), thèse de doctorat « Enjeux et stratégies de la politique de soutien du cinéma français. Un exemple. La Nouvelle Vague : économie politique et symboles ». 380p.
GIMELLO-MESPLOMB F. (1997), mémoire de DEA « La politique française de financement du cinéma entre 1960 et 1965 : de la Nouvelle Vague à l'entretien un cinéma évasion ? ». 200 p.
Gimello-Mesplomb, F. (2003), "Le prix de la qualité. L'État et le cinéma français (1960-1965)", Politix, revue des sciences sociales du politique, n° Politiques du cinéma (Jean-Marc Leveratto et Fabrice Montebello dir.), Volume 16 n ° 61, 2003, p. 97-115.
Recherches achevées
2004-2007
CNRS
Centre de Recherches sur l'Action Politique en Europe (UMR 6051) et 2L2S ERASE (Metz) - L'historiographie du cinéma à l'épreuve de la culture populaire des années 80 : -les Cultural studies en France : réception française des films d'action à grand spectacle constitués
- Socio-économie des productions populaires (économie des blockbusters hollywoodiens et socio- économie de la circulation des produits de la culture de masse)
- Enjeux et questionnement sur la légitimité de l'inscription des formes cinématographiques populaires comme modèles historiques cohérents dans l'histoire du cinéma hollywoodien moderne - mise en perspective avec des questionnements équivalents concernant les modèles français (réception et historiographie du cinéma de genre français)
articles et chapitres d'ouvrages tirés de cette recherche
MICCICHE J.M. et GIMELLO-MESPLOMB F. (2008), « New York City, a Geography of Justice: The City within the Prism of 70’s and 80’s Exploitation Movies», in Alexandre Tylsky (dir.), préface de Christian Viviani, New York in Movies, Toulouse, editions Cadrage.
GIMELLO-MESPLOMB F. (2007), « Des mythologies politiques du cinéma à la sociologie pragmatique de l’industrie hollywoodienne », in Frédéric GIMELLO-MESPLOMB (dir.), Le cinéma des années Reagan : un modèle hollywoodien ? Lectures économiques, politiques et sociales des films à grand spectacle, Paris :Editions Nouveau Monde, collection « Histoire et Cinéma», pp. 25-30.
GIMELLO-MESPLOMB F. et FOREST C. (2008), « Le cinéma fantastique français, un rendez-vous manqué », in TELEDOC « La main du diable : le cinéma fantastique français » (Philippe Leclercq, dir.), Paris, CNDP, 2008, p. 3.
GIMELLO-MESPLOMB F. (2007), « Le schéma discursif des spots de téléachat ou la traduction audiovisuelle de la rhétorique de l'efficacité », in Le téléachat, dispositifs, pratiques et consommation (sous la direction de Stéphanie Hurez), L’Harmattan, collection « Communication & Civilisation ». Actes du colloque « Le téléachat, dispositifs, pratiques et consommation ».
GIMELLO-MESPLOMB F. (2007), « James Bond, saga populaire : questions d’économie du cinéma », in Françoise Hache-Bissette, Fabien Boully et Vincent Chenille (dir.), James Bond, anatomie d'un mythe populaire, Paris : Belin, collection « Histoire et Société », pp. 230-241.
2000-2002
Equipe de recherche sur les publics du Festival d'Avignon
Centre de Recherche sur les Institutions et les Publics de la Culture (Université d'Avignon)
Une partie de l'équipe de recherche qui a travaillé entre 2000 et 2002 sur la sociologie des publics du festival d'Avignon. De gauche droite : Jean-Louis Fabiani, directeur d'études EHESS; Gilbert Labelle, secrétaire général du DEP (Département des Etudes et de la Prospective) du Ministère de la Culture; Paul Tolila, directeur du DEP; Olivier Zerbib, ATER Université d'Avignon; Frédéric Gimello-Mesplomb, maître de conférences Université de Metz; Marie-Hélène Poggi, maître de conférences Université d'Avignon; Emmanuel Ethis, maître de conférences Université d'Avignon, responsable du groupe de travail. Manque Damien Malinas (Allocataire moniteur, Université d'Avignon).
Photographie prise en juillet 2002 lors de la présentation à la presse de l'ouvrage Avignon, le public reinventé
Avignon, le public réinventé. Le festival sous le regard des sciences sociales sous la direction de Emmanuel Ethis
La Documentation Française
collection "Questions de culture" (Ministère de la Culture)
Année d'édition : 2002
344 pages, 16x24 cm
ISBN : 2-11-005203-1
Dès ses origines, le Festival d’Avignon s’est bâti en affichant une volonté originale dans la manière de « fabriquer » son public. L’objectif revendiqué par l’équipe menée par Jean Vilar était d’attirer dans l’ancienne cité des Papes des spectateurs écartés jusque-là du théâtre, auxquels il s’agissait de rendre le goût du spectacle vivant et de donner des motifs de curiosité pour l’art dramatique. Qu’en est-il aujourd’hui, plus de cinquante ans après ? A quoi ressemblent les spectateurs d’Avignon en ce début de XXIe siècle ? Forment-ils enfin cette communauté que Vilar avait imaginée ? En s’appuyant sur une enquête de terrain conduite entre 1996 et 2001, cet ouvrage propose de partir à la découverte de ce public de la culture fort singulier que forment les spectateurs du Festival d’Avignon. Singulier par ses motivations, par ses pratiques, par ses désirs de rencontre, le public du festival se découvre ici avec entre les mains l’une des clefs majeures des renouvellements culturels à venir.
2001-2003
Equipe de recherche sur les publics du Festival de Cannes. Centre de Recherche sur les Institutions et les Publics de la Culture (Université d'Avignon)
Depuis les années 1950, le Festival de Cannes, en tant que «double de l'univers festivalesque», a conquis un espace de plus en grand important hors de ses salles de projection. Au reste, s'il abrite toujours ces dernières, le Palais du festival est également devenu aujourd'hui lelieu de l'organisation festivalière, du marché professionnel, des journalistes et des spectateurs accrédités; et, tous vont, durant douze jours, coopérer à faire de ce Palais du festival -sorte d'immense bunker de béton en bord de mer- le temple sacré du septième art. Quant à la ville de Cannes, elle se drape d'une profusion de signes tout droit sortis du grand écran pour rappeler, de toute part, à ceux qui participent à la fête cannoise ou qui traversent simplement les lieux, qu'ici, le spectacle est permanent, que nul ne saurait se dérober à la révérence au monde du cinéma sous toutes ses formes. Au demeurant, il n'y a plus réellement de promeneurs, au sens traditionnel du mot, sur les abords de la Croisette; ceux-ci ont laissé place à des «pèlerins» en quête contemplative de corps exhibés et fugaces de stars en chair et en os.
De l'image cinématographique aux imaginaires télévisuels (p. 29-36) Virginie Spies
Cannes, un festival des signes de l'identité spectatorielle (p. 37-46) Emmanuel Ethis
Images d'images: le Festival de Cannes vécu et transmis en direct (p. 57-61) Jean-Louis Fabiani
Les cicatrices cinéma(pho)tographiques des spectateurs cannois (p. 63-71) Damien Malinas et Olivier Zerbib
Brancusi, la ressemblance et le rythme (p. 73-81) Anne Beyaert
Le formalisme russe (p. 83-97) Sergueï Tchougounnikov
Dynamiques et densités du voir et du vu. (p. 98-111) Marie Renoue
2003-2004
Groupe de travail "Les marchés de l'audiovisuel" (PRESAJE)
Animateur : Thomas Paris, chargé de recherche CNRS au Centre de recherche de l'Ecole polytechnique
Les moyens de diffusion à grande échelle remettent en cause l'ensemble de la chaîne de valeur et les modes de rémunération des divers acteurs. Chacun de ces acteurs définit ses intérêts tout en devant faire front vis à vis du piratage, dont le libre exercice ne pourrait conduire qu'au tarissement des ouvres.
Internet entraîne trois types de problèmes :
- la mise à mal de la notion d'exclusivité, sur laquelle était pourtant fondée toute l'économie de l'audiovisuel ;
- le contrôle de l'exploitation des oeuvres, dans les limites du respect de la vie privée ;
- la préservation des mécanismes protecteurs du souci « culturel », à l'heure où tel ou tel site web américain peut distribuer un film avant même sa diffusion dans les salles françaises.
Concilier technologie et droit, tel est l'enjeu.
Les travaux sont à ce jour terminés, ainsi que la rédaction de l'ouvrage, en librairie depuis 2004 sous le titre : "La libération audiovisuelle : enjeux technologiques, économiques et réglementaires (éditions DALLOZ).
La libération audiovisuelle, enjeux technologiques, économiques, réglementaires
sous la direction de Thomas Paris
Paris : Editions Dalloz.
collection PRESAJE
Année d'édition : 2004
288 pages
ISBN :
2-247-05955-4 lire l'article des Echos consacré à l'ouvrage
Le peer-to-peer a depuis plusieurs années des effets dévastateurs sur l'industrie musicale et en annonce autant sur les industries des contenus en général. Le mouvement est inéluctable. Le gouvernement vient de lancer un plan de lutte contre la piraterie, les industriels ont engagé une campagne de sensibilisation contre ses méfaits, la législation a été musclée, mais en parallèle, les maisons de disque s'engagent dans des plans de réduction de leurs coûts pour endiguer la chute de leurs résultats. Avec l'arrivée du numérique et de l'Internet, on annonçait une Révolution dans l'univers des contenus ; on craint désormais la Berezina ! Le peer-to-peer ne disparaîtra pas, même dans sa forme gratuite, et il rentrera dans la légalité - ou plutôt c'est la loi qui s'adaptera à ce nouveau mode de diffusion. Les industries de contenu n'en perdureront pas moins. L'effondrement en cours n'est pas celui de la musique mais bien des fondements économiques et réglementaires de son industrie, et plus généralement des fondements du paysage audiovisuel au sens le plus large. Et si le peer-to-peer est aujourd'hui le phénomène le plus visible de cette recomposition, il n'est qu'une manifestation parmi beaucoup d'autres d'une reconstruction qui n'en est qu'à ses débuts. Aujourd'hui, la « chronologie des médias » est rediscutée pour faire une place aux nouveaux modes de diffusion (vidéo à la demande.) sans mettre en péril l'économie générale du secteur. L'ensemble des acteurs du monde audiovisuel sont autour de la table avec des enjeux très forts puisqu'ils articulent les trois problématiques majeures de la reconstruction de l'audiovisuel : le développement de nouveaux modes de consommation - peer-to-peer ou VideoOnDemand -, l'apparition de nouveaux modes de diffusion et de nouveaux acteurs (ADSL, UMTS.), la remise en cause des relations traditionnelles entre fournisseurs de programmes et diffuseurs. Dans ce Yalta de l'audiovisuel nouveau, les consommateurs ne sont pas absents, pas plus que les législateurs. Les premiers pèsent de tout leur poids en construisant les usages de demain : le succès du peer-to-peer l'illustre. Les seconds s'efforcent d'adapter le cadre hérité de l'audiovisuel historique, composé de six chaînes hertziennes généralistes. Mais l'audiovisuel ne pourra se contenter d'un rapide toilettage pour prendre en compte les nouvelles technologies de diffusion de l'ADSL, de l'UMTS ou de l'Internet, car derrière l'évolution des « tuyaux » et des terminaux de réception, c'est une redéfinition de l'économie du secteur qui se dessine. Elle ne pourra pas non plus se contenter d'une simple mise aux normes européennes, car l'audiovisuel, libéralisé, reste un secteur très spécifique au regard du droit de la concurrence. Les nouvelles technologies - numérique et Internet - et le processus de libéralisation impulsé par Bruxelles donnent à l'audiovisuel les conditions d'une véritable libération : libération des chaînes par rapport aux contraintes réglementaires, libération des possibilités de concurrence et d'innovation, libération du consommateur dans les choix des programmes et la manière de les consommer. Encore faut-il que le nouveau cadre qu'il s'agit de lui donner soit dessiné dans une compréhension fine des évolutions en cours et des enjeux associés.
1992-1996
Equipe de recherche Imagines (images/histoire/sociétés EA 4199) (Université Bordeaux III) Esthétique de la musique de film >> La musique dans le cinéma de la Nouvelle Vague, esthétique, sémiotique, forme, montage.
GIMELLO-MESPLOMB F. (dir) (2009), Dossier Musique et cinéma (partie II). L'Education Musicale, revue française d'analyse musicale. n° 560, Mai-juin 2009
GIMELLO-MESPLOMB F. (2008), « Forms and functions of Music in French New Wave Cinema », Studies in French Cinema Journal (Grande Bretagne), Vol. 8, n° 04, December.
GIMELLO-MESPLOMB F. (1999), « De la musique de scène à la musique d'écran : analyse d'une transition narrative » in Du genre narratif au théâtre, à l'opéra et au cinéma (sous la direction de Raymond Abbrugiati), Actes du colloque international ERATO, Toulouse : Presses Universitaires du Mirail, collection de l'Ecrit, pp. 75-89.
GIMELLO-MESPLOMB F. (1998), « Entre tradition et modernité: la musique dans le cinéma de la Nouvelle Vague », Positif n° 451, septembre, pp. 78-84.
GIMELLO-MESPLOMB F. (1997), « La musique dans le cinéma de la Nouvelle Vague: quand l'esthétique rencontrait l'idéologie », Entrelacs, revue d’esthétique, n° 3, décembre 1997 / janvier 1998, pp. 56-69.
GIMELLO-MESPLOMB F. (1996), « La valorisation du patrimoine cinématographique muet. 20 ans de ciné concerts : éléments pour un bilan », Génériques, n° 5.
Extrait d'un manuscrit de Boris Vian consulté en 1996 dans le cadre de mes recherches sur l'oeuvre de Georges Delerue (compositeur de l'Opéra de Vian "Le chevalier de Neige" créé en 1957 (cf. Georges Delerue Une Vie, éditions Jean Curutchet, 1998)
1996-1997
Laboratoire de Recherche en Audiovisuel (EA 1938)
(Université Toulouse II)
Histoire de la politique de financement public du cinéma français entre 1960 et 1965 : de la Nouvelle Vague à l'entretien d'un cinéma d'évasion ?
valorisation académique :
mémoire de DEA (juin 1997)
Publications tirées de la recherche
GIMELLO-MESPLOMB F. (2006), « La politique publique du cinéma en France » in Art et pouvoir, de 1848 à nos jours (sous la direction de Philippe Poirrier), Paris : Editions SCEREN-CNDP, collection « Histoire des arts ».
GIMELLO-MESPLOMB F. (2003a), « Le prix de la qualité. L'État et le cinéma français (1960-1965) », Politix, revue des sciences sociales du politique, n° spécial Politiques du cinéma (Leveratto J.-M. et Montebello F. dir.), Paris : Hermès, Vol. 16, n° 61, mai-juin, pp. 97-115.
Organisation de colloques et séminaires
1993 : 1 journée d'études sur la Fondation du festival d'Avignon avec Raymond Hermantier, Université Bordeaux III
2002 : 2 séminaires (CNRS et Université de Toulouse II)
2003 : 4 séminaires (CNRS -Ireimar) dont 2 avec publication d'actes (Editions Apogée, Rennes)
2006 : 4 séminaires (groupe Expertise Culturelle du Laboratoire Lorrain de Sciences Sociales)
2006 : 1 journée d'études
2009 : 1 séminaire
Quelques mots de Jean Cluzel...
Lorsqu'on prend connaissance de la thèse de Frédéric Gimello-Mesplomb, chercheur au CNRS; ses analyses d'une grande rigueur scientifique permettent de comprendre le rôle de l'Etat à travers la composition des commissions et le financement d'un système cogéré. Ce chercheur a dépouillé les 14.500 du Journal Officiel afin de dresser la liste des membres succéssifs de la commission d'Avance sur recettes, et de mettre au clair les choix de chaque gouvernement. Non pour s'en offusquer, mais pour avoir confirmation qu'aucune désignation n'est neutre, même s'il est convenu de prétendre à la neutralité absolue de l'Etat […]
Jean Cluzel, membre de l'Institut
Secrétaire perpétuel de l´Académie des Sciences Morales et Politiques
Rapporteur au Sénat du budget de la communication audiovisuelle (1974-98)
in Propos impertinents sur le cinéma français, Presses Universitaires de France, 2003